Étudiants : les chiffres 2024-2025

by Olivier Rollot

Selon la note définitive du SIES Les effectifs étudiants dans l’enseignement supérieur 2024-2025, ce sont 3,01 millions d’étudiants qui étaient inscrits dans l’enseignement supérieur l’année dernière, soit une petite hausse de 1,4%.

Dans ce cadre les effectifs de l’enseignement supérieur public connaissent une embellie avec une hausse de 1,5% contre seulement 0,3% en 2023 quand, dans le secteur privé, la hausse ralentit à 1,1% contre 2,8% en 2023-2024.

A l’université la hausse est de 1,6%, soit 26 500 étudiants de plus, répartis dans les cursus de licence (+1,2%) et master (+2,5%) mais pas en doctorat (-0,3%).

En cette année d’entrée en vigueur du BUT, les effectifs en formations d’ingénieurs restent stables mais diminuent à l’université (-2,8%) tandis qu’ils progressent légèrement pour celles en dehors (+0,6%).

En STS la baisse atteint pour la première fois les formations sous statut apprenti (-1,2%) après neuf année de hausse quand elle se poursuit dans le scolaire (-0,8%).

En revanche, le nombre d’étudiants a progressé en 2024-2025 dans les classes préparatoires aux grandes écoles (+5,5%) et les écoles de commerce, gestion, comptabilité (+3,1%).

Si globalement plus d’un étudiant sur quatre (26,5%) est inscrit dans un établissement privé les disparités sont fortes entre les académies : de 2,8% à Mayotte à 36,3% à Nantes. Plus d’un tiers des étudiants sont formés dans le secteur privé dans les académies de Paris, Nantes, Lyon et Versailles. À l’inverse, moins de 10% des étudiants le sont dans celles de Mayotte et de Corse.

À l’université les disparités sont également fortes selon les régions : 43,3% des étudiants parisiens sont inscrits à l’université contre 54,2% au niveau national.














































Étudiants : les chiffres 2024-2025.
Selon la note définitive du SIES Les effectifs étudiants dans
l’enseignement supérieur 2024-2025
, ce sont 3,01 millions d’étudiants qui
étaient inscrits dans l’enseignement supérieur l’année dernière, soit une petite
hausse de 1,4%.
+ tab 1 on the width rangeDans ce cadre les effectifs de l’enseignement supérieur public
connaissent une embellie avec une hausse de 1,5% contre seulement 0,3% en 2023
quand, dans le secteur privé, la hausse ralentit à 1,1% contre 2,8% en
2023-2024.
+ tab 2 on the width rangeA l’université la hausse est de 1,6%, soit 26 500 étudiants de plus,
répartis dans les cursus de licence (+1,2%) et master (+2,5%) mais pas en
doctorat (-0,3%).En cette année d’entrée en vigueur du BUT, les effectifs en formations
d’ingénieurs restent stables mais diminuent à l’université (-2,8%) tandis
qu’ils progressent légèrement pour celles en dehors (+0,6%).En STS la baisse atteint pour la première fois les formations sous statut
apprenti (-1,2%) après neuf année de hausse quand elle se poursuit dans le
scolaire (-0,8%). En revanche, le nombre d’étudiants a progressé en 2024-2025 dans les
classes préparatoires aux grandes écoles (+5,5%) et les écoles de commerce,
gestion, comptabilité (+3,1%). Si globalement plus d’un étudiant sur quatre (26,5%) est inscrit dans un
établissement privé les disparités sont fortes entre les académies : de
2,8% à Mayotte à 36,3% à Nantes. Plus d’un tiers des étudiants sont formés dans
le secteur privé dans les académies de Paris, Nantes, Lyon et Versailles. À
l’inverse, moins de 10% des étudiants le sont dans celles de Mayotte et de
Corse. À l’université les disparités sont également fortes selon les
régions : 43,3% des étudiants parisiens sont inscrits à l’université
contre 54,2% au niveau national.
 

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